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Église Templière St Pierre de Campublic – diagnostic

Michel

Diagnostic géobiologique

 

Azimut de 100 ° du nord à l’est.

Effectué sur plan avec Pendule et antenne de Lecher, du 5 au 15 avril 2020.

L’architecture de cet édifice est en accord avec le nombre d’or.

Taux vibratoires des différentes parties, relevés avec le pendule :

  • Taux vibratoires en unité Bovis
  • Porte ouest : 9 000 UB
  • Narthex : 4 000
  • Cœur grande abside : 70 000
  • Cœur abside nord : 30 000
  • Cœur abside sud : 35 000
  • 1er pilier nord : 12 000(En partant du côté ouest, narthex)
  • 2er pilier nord : 35 000
  • 1er pilier sud : 7 500
  • 2em pilier sud : 25 000
  • Baptistère : 700 000

Vortex et cheminées cosmo-tellurique (dans chaque vortex il y a une cheminée).

Ils sont au nombre de sept, cinq à l’intérieur de l’édifice, deux à l’extérieur.

Grande abside : 800 000 UB

Le vortex est dextrogyre (masculin), énergie cosmique, de niveau 3.

Petite abside nord : 400 000

Le vortex est dextrogyre, énergie cosmique, de niveau 2.

Petite abside sud : 400 000

Le vortex est dextrogyre, énergie cosmique, de niveau 2.

Porte ouest (en face à l’intérieur) : 60 000

Le Vortex est lévogyre (féminin), énergie tellurique, de niveau 2. C’est un vortex d’ascension.

Intérieur, bénitier : 700 000

Le vortex est dextrogyre (masculin), énergie cosmique, de niveau 3.

Extérieur côté nord : 500 000

Le vortex est dextrogyre (masculin), énergie cosmique, de niveau 3.

Extérieur, côté ouest (baptistère) : 700 000

Le vortex est dextrogyre, énergie cosmique, de niveau 2.

Remarques :

 Cette église romane est le parfait exemple d’un édifice roman construit en fonction des réseaux telluriques.

 

Recherches effectuées

Réseau Hartmann : absent à l’intérieur.

Réseau Curry : absent à l’intérieur.

Grand réseau global : présent à l’extérieur côté sud et ouest

Ligne d’Or : 3 sont à l’intérieur dans l’axe de chaque abside.

Ley-line : 3 sont à l’intérieur dans l’axe de chaque abside, parallèles aux lignes d’Or.

Remarques :

Nous avons dans cette église, l’exemple d’un lieu sacré ou les réseaux ont été manipulés. Il était courant au Moyen Age, de déplacer les lignes vers les murs ou même à l’extérieur de l’édifice. Cette pratique permettait de créer une zone neutre pour les croyants et cela participait aussi à l’équilibre énergétique du lieu.

Les veines d’eau souterraines : (en bleu)

Elles sont au nombre de 5, 3 dans le sens nord/sud, 2 dans le sens est/sud-ouest. Les deux absidioles sont traversées par un croisement de deux veines.

L’abside principale est traversée par une veine nord/sud.

Les failles sèches :(en vert)

L’édifice est parcouru par deux failles sèches, une dans le sens nord/sud, l’autre est/ouest.

Les autels primitifs : (en bleu)

La recherche a permis d’en localiser 4.

  • 1 abside principale.
  • 1 absidiole côté nord.
  • 1 absidiole côté sud.
  • 1 à environ 5 m plus à l’ouest que celui de l’abside principale.

Les pierres de seuil (en jaune) (2)

  • Une sous la porte principale à l’ouest.
  • La seconde sous une porte murée côté sud/est.

Les pierres des morts (en violet) (4)

Chacune à environ 2 m de chaque autel primitif.

Ambon : (en rouge)

Sur le côté gauche de l’abside.

Bénitier : (rond marron)

Situé à droite en entrant par la porte principale.

Baptistère : (rond jaune)

Il est à l’extérieur, nord/ouest, à environ 12 m de l’entrée principale.

Carré de Saturne : (en vert)

A environ 8 m de l’entrée principale.

Point Menhir : (rond noir)

Il est dans l’épaisseur du mur de l’abside, dans l’axe de l’église.

Remarques :

Cette église, fût entre autre un lieu d’initiation, tous les éléments sont réunis pour que ce lieu soit exceptionnel, il est un modèle du genre.

Les veines d’eau sont disposées de façon que les autels des trois absides, ainsi que le quatrième soit disposés sur une veine d’eau souterraine.

Dans le sens transversal de l’édifice (nord/sud), une veine à proximité de l’entrée principale représente « le Jourdain ».

Une deuxième au milieu du bâtiment symbolisant une frontière, un pallier énergétique dans le cheminement du croyant qui peu à peu arrivera au cœur sacré de l’édifice.

La troisième veine, apporte l’énergie et l’information aux trois autels.

Les deux autres veines est/sud-ouest), forment un croisement sous chaque autel des deux absidioles, celle côté nord descend ensuite vers le sud/ouest et passe sur le quatrième autel primitif.

Ces deux veines d’eau créent six croisements à l’intérieur de l’église.

Les failles sèches, au nombre de deux, une nord/sud, l’autre sud-est/nord-ouest. Elles se croisent, à l’intérieur à proximité d’une ancienne porte actuellement murée.

Le croisement de failles sèches est en géobiologie, très nocif. La position de celui-ci (il vibre à 4 500 UB), devait avec la pierre de seuil facilité l’abaissement.

Les autels primitifs, l’édifice en a sans doute à différentes périodes comporté quatre. Un dans chaque abside et absidioles, le quatrième dans l’axe de la nef à environ cinq mètres de celui de l’abside.

La pierre de seuil, elle diminue le champ vital, enlève les charges émotionnelles, agit sur les blocages énergétiques, dissous les informations indésirables. Elle donne l’impression de se vider, de se séparer d’un poids.

  • Une porte à l’ouest, l’autre porte sud.
  • La première vibre à 1 500 UB
  • La seconde vibre à 500 UB

Les pierres des morts, au nombre de quatre, une devant chaque autel primitif.

  • Celle de l’abside vibre à 2 000 UB
  • Celle de l’absidiole côté nord vibre à 2 500 UB
  • Celle de l’absidiole côté sud vibre à 2 000 UB
  • Celle dans la nef vibre à 4 000 UB

C’était pour aider ces âmes à franchir plus facilement le dernier passage, et afin qu’elles n’errent pas indéfiniment dans ce monde, que les bâtisseurs avaient prévus dans chaque église, un emplacement appelé « pierre des morts », sur lequel on déposait le cercueil pendant un certain temps. A cet endroit le taux de d’énergie est particulièrement faible, afin que l’âme ne puisse pas s’y abreuver d’énergie tellurique et qu’au moment du « Libera me », elle puisse se laisser plus facilement aspirer par les puissances cosmiques, seules capables de la libérer de l’attrait terrestre.

Il est dommage que l’échelle du support ne permette pas de confirmer que de nombreuses lignes du réseau Hartmann sont agglutinées autour des pierres des morts, malgré leur absence dans l’église.

L’ambon, un seul emplacement a été trouvé, sur le côté gauche de l’abside

Ce terme signifie « monter » dans le sens « bord relevé » est le pupitre, placé à l’entrée du chœur, dans une église, où est posé le lectionnaire ou la Bible. Il désigne aussi une tribune fixe d’où sont lus les textes sacrés. Il sert à poser des livres saints et comme appui lors du prêche.

En liturgie, on réserve le mot de pupitre pour le petit meuble monté ou non sur un pied, équipé d’un support incliné, de bois ou de métal, et destiné à recevoir le missel à l’autel.

L’usage de l’ambon vient de la nécessité d’un endroit d’où le lecteur soit vu et entendu : l’ambon est toujours surélevé par rapport aux fidèles, mais il ne l’est pas forcément par rapport au sanctuaire.

Bénitier, il est sur le plan à l’endroit où il est traditionnellement,

Baptistère, situé à l’extérieur, il est relativement rare de retrouver cet élément primordial de la religion catholique. N’oublions pas que nous sommes chez les « moines soldats ». Il est dommage que l’échelle du support ne permette pas de confirmer que de nombreuses lignes du réseau Hartmann sont agglutinées autour du baptistère. Une visite et un relevé sur place le permettrait.

Carré de Saturne, ou carré magique, comme dans l’immense majorité des cas, il est face à l’entrée principale de l’église. Il sert à activer l’énergie de l’édifice.

Point Menhir, « On ne peut pas emprisonner l’énergie d’une manière continue, sinon on risque de provoquer l’éclatement non contrôlé du système ». C’est une sorte de soupape d’échappement, un point par ou sort le trop plein d’énergie.

Remarques :

Non seulement l’endroit choisi pour construire cette église de St Pierre de Camp public est mauvais, mais nous dirions même qu’il est négatif sur le plan vibratoire. En effet nous constatons, dans le cas de cet édifice, plusieurs courants d’eaux qui se croisent, une concentration de réseaux telluriques le long des murs et à l’extérieur. A cela il faut ajouter d’autres perturbations du sous-sol, comme les failles géologiques qui contribuent à amplifier la nocivité du lieu.

Donc le choix de l’emplacement de cette église se présente comme un mauvais choix, si on en reste au relevé tellurique constaté. C’est dans tous les cas, un endroit ou l’homme ne peut pas vivre, du moins sans danger grave pour sa santé.

Et pourtant, c’est sur un site aussi perturbé que les anciens plantaient un menhir, érigeaient un dolmen ou construisaient une église. Leur travail permettait de transformer toute l’énergie négative du lieu, en énergie extrêmement positive et régénératrice pour l’homme. Le but de la géobiologie ne sera donc pas d’éliminer les forces négatives mais de les stabiliser et de se servir de leurs énergies pour obtenir un équilibre harmonique propre à développer la vie.

Le site en question nous l’avons vu, existait déjà avant l’arrivée des Templiers. Il est fort probable que si l’église ne correspondait pas l’harmonie énergétique que l’ordre voulait dans leurs lieux de culte, ils ont dû effectuer des modifications.

 N’oublions pas que nous sommes dans un lieu de culte des « Templiers », ou des personnes maitrisaient parfaitement la géobiologie. Et pour les offices, c’était un prêtre de l’ordre du temple qui officiait.

Conclusion

Cette magnifique église, détient encore de nombreux secrets qui pourraient être mis à jour par une fouille archéologique.

Un diagnostic de géobiologie sur place permettrait aussi d’affiner celui-ci. De nombreuses zones ne peuvent être approfondies sans une étude sur site, ce qui permettrait de mieux comprendre les nombreuses modifications faites par les bâtisseurs autour et à l’intérieur de l’édifice. 

De nombreuses confréries de bâtisseurs étaient affiliées à l’ordre du temple, certaines ont sans doute œuvrées à Campublic. Eloignée de quelques kilomètres au sud, le village de Fourques, doit son origine à une communauté d’Hommes du temple qui restèrent sur place après la dissolution de l’Ordre.

 

L’auteur de cette étude remarquable, poursuit son analyse après avoir constaté l’existence « d’arcs outrepassés », et clôture son étude par : « De l’église de la villa campopublico mentionnée par des textes du 9 èmesiècle, il ne reste rien ».

A l’intérieur, il y a toujours des « arcs outrepassés », et l’église est mentionnée déjà en 824, il est probable qu’elle soit bien plus ancienne.

Plusieurs autres indices comme les trois absides prolongées par trois nefs, font penser à une architecture pré-Wisigothique d’origine paléochrétienne.

 Sources :

  • A Michelozzi étude + photos
  • Les Templiers du Gard : B F de Bezaure
 

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