L'hypogée du Castelet à Fontvieille (BdR)
En archéologie, un hypogée est une construction souterraine et plus spécifiquement un édifice funéraire creusé dans le sol.
Au bord de la départementale D 17, entre l’abbaye de Montmajour et Fontvieille département des Bouches du Rhône, on peut admirer cet ancien tombeau de l’âge du Bronze appelé hypogée du Castelet, longueur 18.45 m, largeur 2.40 m au sol, 2.10 m en plafond.
Sur la commune de Fontvieille se trouvent actuellement sept monuments mégalithiques funéraires ou grottes artificielles répertoriés datant du Néolithique.
Celui appelé « du Castelet », et le seul qui soit accessible au public, les autres sont : Bougnias, la Source, Cordes, mas d’Agard et mas de la Mérindole. Le dernier au lieu-dit le Castelet, fut découvert par Mr Pomeyrol en 1965, mais il est recouvert par des habitations. C’est donc sept hypogés dans un périmètre d’environ 2.5 km.
Généralement, il s’agit d’une excavation tombale recouverte de dalles mégalithiques. Il est composé de deux parties : l’entrée avec ses marches et le long couloir appelé chambre funéraire.
Fouillées dans les années 1870, on trouva dans l’une d’elles les restes d’une centaine d’individus, ce qui atteste définitivement la fonction de l’édifice. Les fouilles ultérieures et l’étude des objets archéologiques, trouvés en grand nombre à proximité des hypogées, en permettront la datation. Tout indique qu’ils ont été édifiés à partir de 3 300 ans av. J.-C. (début du néolithique final) et ont été utilisés jusqu’à 2 000 av. J.-C. (chalcolithique : âge du bronze et âge du fer).
Il est orienté Ouest/Est. L’état dans lequel le site est actuellement n’est pas celui d’origine.
Généralement, les Tumuli sont en territoire Celtes et buttés de terre formant un tertre, entouré d’un cercle de pierres levées évoquant un cromlech.
La construction d’un tumulus est destinée à recouvrir une sépulture. La plupart du temps il a une forme circulaire, mais il peut aussi dessiner diverses formes géométriques (carré, rectangle, trapèze, ovale). Avec le temps, la qualité de la construction, l’érosion naturelle, les réutilisations postérieures à la construction, le pillage des sépultures qu’il abrite peuvent modifier la forme d’origine. Le périmètre du tumulus, parfois appelé péristalithe, peut être délimité par un parement répondant aussi bien à des considérations architecturales (contrepoussée de la masse du tertre).
Les tumuli d’environ 10 m de diamètre sont en général la tombe d’une seule personne, la taille est en principe proportionnelle à l’importance du personnage enterré.
Diagnostic géobiologique
Arles le 12 juillet 2021
Effectué sur site et sur plan avec Pendule et antenne de Lecher les 20,21,22,23 juin 2021. J’ai fait une visite sur site en 2019, avec photos et prise de dimensions.
Les taux vibratoires des différents endroits, relevés avec le pendule et l’échelle de Bovis.
Le site dans son ensemble vibre à 700 000 UB.
J’ai divisé l’hypogé en trois parties en partant de l’entrée qui est du côté ouest.
- 1er partie (entrée) : 400 000 UB
- 2 eme partie (à l’intérieur en s’enfonçant vers l’est) : 600 000 UB
- 3 eme partie : 700 000 UB
Recherches effectuées
Réseau Hartmann (nickel, en rouge), absent sur l’hypogée.
Ligne d’or, (en jaune) elle passe exactement dans l’axe Est/Ouest du site.
Ley line, (en orange) elle passe aussi dans l’axe parallèle à la ligne d’or.
Ligne de cuivre : côté Est au fond du couloir funéraire.
Vortex : (grand rond) : 2
Un au centre du site, un autre devant l’entrée à l’ouest, 1 troisième à une trentaine de mètres au sud/ouest.
Cheminée cosmo-tellurique (petit rond) : 2
Une dans chaque vortex de l’hypogée, une troisième à environ 25 m au sud/ouest.
Faille sèche : (en violet hachurée) oui, du Sud/Est au Sud/Ouest, elle est à quelques mètres du cromlech.
Veine d’eau : (en bleu)
Quatre veines d’eau, une longe l’hypogée au nord, la seconde la traverse au centre du site direction sud/ouest nord/est. Les deux veines se croisent à environ 2 m du centre du site. La troisième traverse du sud/ouest au sud /est le cromlech. La quatrième passe au sud sur le périmètre du tumulus, elle est parallèle à quelques mètres de la faille sèche.
- Grand réseau diagonal : non
- Grand réseau global : non
- Réseau cuivre : oui
- Faille humide : non
- Mémoire des murs : non
- Entité : non
- Orbe : non
- Cromlech : oui
- Triple enceinte : oui
- Porte Astrale : oui
Particularités du lieu
Les réseaux telluriques
Sur l’hypogée les réseaux Hartmann (nickel) et Curry (fer) sont absents. Seules apparaissent à partir d’un cercle de diamètre d’environ 27 m, les lignes nickel. Cette enceinte semble être une barrière magique qui pouvait être matérialisée par le cromlech qui a complètement disparu.
À l’extérieur de ce cercle, les lignes nickel sont toutes négatives et elles sont démultipliées par 7. Elles forment un carré sans aucune ligne autour du cercle, orienté sur les points cardinaux de 32 m environ de côté.
Les résilles du réseau nickel sont légèrement plus grandes que la norme, de 3 à 4 m.
Le relevé précis des dispositifs énergétiques, lignes, cheminées et barrières magiques montrent qu’ils sont ordonnés.
Il est clair que ce réseau tellurique a été manipulé. En bordure du cromlech, un grand nombre de lignes H sont agglutinées.
Une ligne d’Or ainsi qu’une Ley Line passent dans l’axe Ouest/Est.
Une ligne de cuivre (en marron) passe du Nord au Sud sur l’extrémité Est de l’hypogée.
Les réseaux nickel sont déplacés et démultipliés pour créer des effets énergétiques, selon un tracé régulateur rigoureux et précis qui quelques fois nous laisse quelque peu désorientés. Qu’espéraient obtenir nos ancêtres en manipulant des lignes sur des surfaces souvent beaucoup plus grandes que la construction elle-même ?
La démultiplication des lignes prend relativement peu de temps et crée immédiatement des effets énergétiques intéressants, mais le faire de manière précise selon un tracé régulateur parfois complexe est une autre question. Le plus haut degré dans l’art de bâtisseurs de lieux mortuaires semble avoir été atteint vers la fin de l’âge du fer, entre 800 et 15 avant J-C.
Le Cromlech
Bien qu’il ne soit plus apparent, il se détecte facilement à l’antenne de Lécher. Il a un diamètre de 27 m environ.
Les Vortex
Celui situé au milieu, est dextrogyre, il vibre à 850 000 UB, il est masculin, énergie cosmique. L’autre devant l’entrée est aussi dextrogyre, il vibre à 450 000 UB, il est aussi masculin, énergie cosmique.
Les Cheminées cosmo-telluriques
Les deux sont négatives, celle du centre a 6 bras d’environ 5 m de longueur chacun. La seconde devant l’entrée a 4 bras d’environ 4 m de longueur.
La triple enceinte
La première à un rayon d’environ 5 m, elle part du centre du tumulus. La seconde à un rayon d’environ 17 m, la troisième 50 m environ.
La porte Astrale
Elle est située à une vingtaine de mètres à l’ouest de l’entrée.
Conclusion : Pourquoi un lieu négatif ?
Si les lieux positifs servent aux vivants, il semble naturel de réserver les lieux négatifs aux morts. Nous avons vu une cheminée cosmo-tellurique négative qui est favorable aux entités de de basse vibration. Une des raison pourrait être que les âmes des défunts attirées par la vibration de ce lieu auraient tendance à rester sur les tumuli au lieu d’importuner les vivants. Une autre hypothèse serait que ce lieu est destiné à faciliter le nettoyage des corps subtils des défunts qui y étaient déposés et faciliter ainsi le passage de leur âme dans l’autre monde.
Actuellement le lieu est visitable, mais la végétation est en train d’absorber le site. Il est dommage qu’un tel monument ne soit pas entretenu. D’autant plus que sur les quatre hypogées, c’est le seul qui soit sur le domaine public, donc accessible.
Personnellement, je pense avoir juste ébauché le diagnostic, reste une foule de relevés que je n’ai pas eu la possibilité d’effectuer convenablement. Sur ce genre de site, les réseaux sont manipulés sur plusieurs dizaines de mètres, quelquefois sur plusieurs centaines de mètres.
Même si la géobiologie nous aide à comprendre l’objectif d’un tel lieu, il nous reste du chemin à parcourir pour retrouver et comprendre le savoir de nos illustres ancêtres.
Michel