La crypte de l’église abbatiale de Saint-Gilles (Gard)
Un premier monastère fut construit au VIIe siècle dédié à Saint-Pierre et Saint-Paul, puis au IXe siècle à Saint-Gilles, un ermite local originaire de Grèce.
C’est grâce à ses reliques, conservé dans l’église abbatiale que le lieu devint le passage obligé pour les pèlerins du chemin d’Arles allant à Compostelle. Ils venaient de toute l’Europe, et ce sanctuaire était le plus fréquenté de tout l’Occident.
Les foules qui se pressaient étaient si importantes que 134 changeurs de monnaies leurs étaient nécessaires, un chiffre énorme comparé à celui des grandes villes et ports d’Europe qui ne comptaient que 30 changeurs. L’afflux était tel, qu’en 1116, l’église majeure et deux autres églises furent démolies pour laisser place à une nouvelle abbatiale, de 93 mètres de long, édifiée au-dessus de l’église primitive qui est la crypte actuelle où repose le corps de Saint-Gilles.
L’église primitive devenue crypte, mesure 50 m sur 25m, elle est parcourue par au moins 18 lignes « médicinales », d’autres passent en dehors de l’édifice aussi bien du côté ouest que Sud, elles n’ont pas été étudiées dans cet article.
La concentration de toutes ces lignes « médicinales » à cet endroit précis, montre qu’elles ont été manipulées par l’homme. Dans la nature un tel regroupement n’existe pas.
Diagnostic géobiologique de la crypte
Effectué sur plan avec Pendule et antenne de Lecher, en 2021 et 2022.
Taux vibratoires : en unité Bovis
En partant du côté ouest vers l’est.
- 1er pilier : 250 000 UB
- 2e pilier: 350 000 UB
- 3e pilier: 420 000 UB
- 4e pilier: 550 000 UB
- Fond de la crypte: 550 000 UB
- Tombeau de Saint-Gilles : 850 000 UB
Recherches effectuées
- Hartmann : oui dans les murs périphériques.
- Curry : oui dans les murs périphériques.
- Place d’initiation : oui contre le mur Sud/est.
- Carré de Saturne : oui, il semble être à l’extérieur de la crypte à une quinzaine de mètres façade ouest.
- Endroit ou la structure et en accord avec le nombre d’Or : oui (NO)
- Point menhir : non.
- Pierre angulaire : oui extérieur angle ouest/sud.
- Triple enceinte : oui sur le tombeau.
- Baptistère : oui.
- Ley line : oui dans l’axe Est/ouest. (En marron)
- Ligne d’or : oui dans l’axe Est/ouest. (En jaune)
- Grand réseau global (cathédrales) : oui nord/sud, il coupe la Ley line et la ligne d’or sur le tombeau. (En orange).
- Vortex : oui 5 dont 2 avec cheminée cosmotellurique.
- CCT : oui 3 dont 2 qui sont dans les deux vortex.
- Mémoire des murs : oui, dans 6 endroits différents.
- Veines d’eau : oui 6, (En bleu).
- Faille sèche : oui 2 (en rouge).
- Faille humide : oui 1 (en violet).
(sur le plan il y a des superpositions, voir détails plus loin).
- Autel primitif : oui en vert.
- Pierre de seuil : oui en jaune
- Présence d’ossements : oui les ronds avec un O.
- Présence Celte : oui près du tombeau
- Présence romaine : oui
- Présence Mérovingienne : non
- Présence Wisigoth : non
- Présence Sarrasine : oui
- Présence Templière : oui
Remarques :
Les réseaux Hartmann et Curry sont dans les murs périphériques. Je retrouve cette configuration dans énormément de lieux sacrés. Il s’agissait de créer une zone neutre pour les croyants sur toute la surface de la crypte. Sachant que cinq veines d’eau ainsi que trois failles une sèche et deux humides cheminent dans le sol, si les réseaux H et C étaient à leurs places initiales, la nocivité aurait été extrême.
Le tombeau
Dans l’axe de la travée où se trouve le tombeau, de l’Ouest vers l’Est, une ley Line et une ligne d’or passent sur la sépulture. Elle est traversée aussi du Nord vers le Sud par le grand réseau global.
Un vortex avec une cheminée cosmotellurique au centre du caveau vibre à 850 000 unités Bovis, il est de niveau 3, c’est un vortex dextrogyre, son énergie descend du ciel et il est masculin.
La cheminée cosmotellurique est positive.
La rencontre des différents réseaux, du vortex et de la CCT, fait de cet endroit un véritable moteur à énergie.
La présence à six endroits différents de « mémoire des murs » indique que des méfaits graves se sont produits dans ce lieu.
Toutes les lignes « médicinales » sont légèrement inclinées vers le sud, l’absence de plan de l’époque m’empêche de trouver la convergence de toutes ces lignes, qui doit se trouver au-delà de l’ancien couvent situé au sud.
Les vortex (5)
- Côté Ouest, il vibre à 600 000 UB, il est de niveau 3, c’est un vortex dextrogyre, son énergie descend du ciel et il est masculin.
- Sur le tombeau, 850 000 UB, il est de niveau 3, c’est un vortex dextrogyre, son énergie descend du ciel et il est masculin.
- Coté Est, 400 000 UB il est de niveau 3, c’est un vortex dextrogyre, son énergie descend du ciel et il est masculin.
- Côté Sud, dans le mur, 400 000 UB, Il est de niveau 2, lévogyre, féminin, énergie tellurique.
- Côté Ouest à l’extérieur, 200 000 UB, Il est de niveau 2, lévogyre, féminin, énergie tellurique.
Les cheminées cosmotelluriques (3)
- Celle dans l’angle N/O, elle est positive.
- Dans le vortex du tombeau, elle est positive.
- Celle angle sud/ouest à l’extérieur, elle est positive.
Les veines d’eau sont au nombre de 6. Toutes sont orientées Nord/Sud.
Les différentes travées sont quadripartites.
- La première veine est située en partant de l’ouest vers l’est, au milieu de la première travée.
- La seconde et troisième se croisent dans la troisième travée. Elles épousent la croisée d’ogives.
- La quatrième passe sous le tombeau de Saint-Gilles.
- La cinquième est dans la cinquième travée, elle épouse la voute Nord/Est sud/ouest. Elle est superposée à une faille humide.
- Dans l’autre sens de la même travée, c’est une faille humide qui seule épouse l’ogive.
- La sixième passe entre la cinquième et la sixième travée.
Présence des lignes de métaux, semi-métaux ou métalloïdes.
Cette célèbre crypte, passage obligé des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle, est réputée pour avoir des vertus de guérison. Régulièrement des personnes viennent se recueillir de longs moments à certains endroits de la crypte. Séjournent-elles au bons endroits ?
Ce n’est pas la crypte, mais les lignes telluriques qui cheminent dans son sous-sol qui ont des vertus.
Il n’y a pas moins de 18 lignes (simple, double ou triple) que j’appellerais « médicinales ». Toutes ces lignes ont une ou des vertus qui pour le grand public sont souvent insoupçonnées.
La géobiologie permet de trouver et de comprendre les bienfaits de ces lignes.
Chaque ligne de métaux ou de métalloïdes fait partie d’une résille, comme les réseaux Hartmann et Curry, soit cardinale (Nord/sud-Est/ouest), soit diagonale. L’épaisseur des flux selon la ligne varie de 20 cm à 70 cm environ.
Il est clair que la position des lignes dans la crypte n’est pas naturelle. Celles qui ont une résille en diagonale ne le sont pas vraiment. Elles ont été manipulées par l’homme.
Les vertus des métaux Semi-métaux ou métalloïdes
Faisant partie de la table de Mendeleïev, chaque métal possède ainsi une information vibratoire avec sa propre fréquence, ce qui lui donne des vertus spécifiques.
- Le lithium: le stress, angoisse, la dépression, l’irritabilité, la goutte, les pathologies génitales.
- L’iridium: les brûlures du tube digestif, les sciatiques.
- Le manganèse: est un antiallergique, nécessaire au fonctionnement du cerveau. Il pourra être utilisé dans le traitement du terrain allergique chez les enfants (diathèse). Conseillé dans l’urticaire, eczéma, troubles et douleurs articulaires, ostéo arthrose, céphalée, problèmes neurologiques, épilepsie, Alzheimer, stérilité, régulation thyroïdienne, hypertension, vertige, tachycardie.
- Le bismuth: orl, syphilis.
- Le chrome: obésité, diabète, hypertension artérielle.
- Le cuivre: maladie infectieuse, articulations, inflammation.
- L’iode: hyperthyroïdie, hypo ou hypertension artérielle.
- Le mercure: inflammation des muqueuses.
- Le molybdène: cancer de l’œsophage, anémie.
- Le nickel: malaise, somnolence.
- Le nickel/ cobalt: digestion.
- Le palladium: décalcification (fracture, ostéoporose).
- Le platine: tumeur ovarienne.
- Le sélénium: vieillissement, impuissance sexuelle, infection orl.
- La sidérite: défense immunitaire.
- Le titane: déficit intellectuel.
- L’uranium : diabète, ulcère.
* On notera qu’avec ces résilles, il n’existe pas de risques de toxicité, comme par exemple les aliments au contact avec l’aluminium, car elles fonctionnent par information comme en homéopathie ou oligothérapie.
Remarques
Il semble que les compagnons bâtisseurs nous ont laissé des indications sur certaines voutes d’ogives. Cela fera l’objet d’un autre article.
Il est probable que d’autres articles verront le jour sur d’autres sujets concernant l’église haute et la crypte.