Nous sommes nombreux, notamment parmi les géobiologues, à être fascinés par la construction énergétique et le fonctionnement des menhirs.
Beaucoup pensent que ce savoir a été perdu. C’est certes vrai, mais il existe des personnes qui sont à la fois druides et géobiologues. Et si ces personnes sont suffisamment connectées et érudites, elles peuvent arriver à reproduire ce que réussissaient à mettre en place nos prestigieux ancêtres.
Contrairement à certaines idées reçues, un menhir déplacé n’est pas un menhir inactif pour toujours. On peut le réinstaller dans un lieu qui possède certaines caractéristiques et après certaines actions il est possible de le refaire fonctionner.
Reste à respecter les différents paramètres qui permettront au mégalithe d’entrer en résonance avec les composantes du tellurisme du lieu.
Quelques généralités sur les menhirs
Pour les autres pierres levées, celles qui sont à leur place initiale, elles sont sur des points particuliers. Leur mise en place n’est pas fortuite. Toujours posées à l’aplomb d’un point exceptionnel de rencontre et de superposition de différentes énergies de la terre.
De multiples combinaisons ont été observées, du croisement des réseaux Hartmann et Curry à celui du réseau global, en passant par une intersection du réseau diagonal ou des bifurcations de failles et de courants d’eau souterrains. Sans oublier les carrefours d’un ou plusieurs flux d’énergie sacrée (comme les ley lines).
Sachant cela, nous avons pu constater différentes combinaisons issues du tellurisme. Certaines participaient à la guérison de maladies par l’intermédiaire du menhir.
Les concordances de tous les menhirs étudiés sont multiples. Il est évident que tous sont faits pour recueillir les énergies qu’elles soient telluriques ou cosmiques, sans perte de charge. En effet ils agissent en premier lieu comme des batteries destinées à stocker les énergies auxquelles ils sont reliés. Le choix du type de pierre n’est évidemment pas anodin au vu des objectifs de stockage et de conservation de l’énergie.
Cette énergie stockée dans le menhir se manifeste sous forme d’une « aura », comme l’aura humaine elle est faite de sept couches concentriques, mais aussi, d’une triple enceinte magnétique.
Des études ont mis en lumière que leur forme aussi n’est pas anodine. La hauteur, la section ainsi que les angles semblent correspondre aux différentes largeurs des failles et autres flux. Le hasard ?
Comme énormément de lieux sacrés, les mégalithes sont inactifs la plupart du temps. Seule une énergie résiduelle subsiste, elle rayonne en étant un peu plus élevée que celle qui l’entoure, mais généralement elle est nocive pour les humains.
Une similarité avec les églises
D’un point de vue purement énergétique, il apparait que l’emplacement d’un menhir ou d’une autre pierre, mais aussi de n’importe quel autre Temple ou sanctuaire est à l’origine un mauvais choix, si on reste au relevé tellurique constaté. C’est en tous les cas, un endroit où l’homme ne peut pas vivre, du moins sans danger grave pour sa santé. Et pourtant, c’est sur un site vibratoirement aussi perturbé que les anciens plantaient un menhir, érigeaient un dolmen ou construisaient une église. Car leur travail permettait de transformer toute l’énergie négative du lieu en une énergie extrêmement positive et régénératrice pour l’homme. Et c’est là, la grande leçon que doit tirer la géobiologie moderne.
Le but de la géobiologie sacrée ne sera donc pas d’éliminer les nocivités, mais de les stabiliser et de se servir de leurs énergies pour obtenir un équilibre harmonique propre à développer la vie.
On s’aperçoit de plus, que ces endroits si perturbés sur le plan géomagnétique, permettent une résonnance particulière avec l’énergie cosmique que l’homme, par l’intermédiaire d’antennes de pierre, soit menhir, soit clocher, va capter en l’associant dans un schéma constructif et complémentaire à l’énergie tellurique, créant ainsi une vibration qui rétablira l’équilibre consciemment ou inconsciemment.
Nous retrouvons sur les lieux sacrés où ils sont érigés la même configuration énergétique qu’à l’intérieur des églises et chapelles romanes, où certains réseaux sont écartés pour éviter leur superposition avec des éléments géologiques (veine d’eau, failles, etc.).
Comment relancer un menhir déplacé
Première contrainte, il faut avoir du terrain et la possibilité de déplacer le menhir.
En effet, on ne le place pas n’importe où (voir chapitre précédent). Dans notre opération nous avons repéré le lieu adéquat à l’aide d’une antenne de lécher sur plan, puis avons vérifié sur place.
Une fois le menhir en place, nous l’avons fait pivoter pour que sa polarité soit correcte. Nous avons pu faire ce réglage en utilisant notre clair ressenti sur la dilatation de l’aura de la pierre.
Nous avons ensuite déplacé les lignes telluriques nécessaires au chargement en énergie de la pierre. Le choix des lignes dépend de ce que l’on souhaite faire du menhir. En l’occurrence nous souhaitions qu’il permette de faire évoluer l’énergie des personnes qui l’activent (un peu comme la transmutation alchimique).
Évidemment les étapes précédentes ne sont qu’une mise en place. Pour que le menhir devienne fonctionnel, nous avons dû effectuer un rituel de consécration druidique.
Pour cela nous nous sommes réunis à trois druides (évidement, je ne vais pas vous détailler l’importance du chiffre trois dans le druidisme). Nous avons allumé un feu sur le côté du menhir dans lequel nous avons brulé des offrandes.
Je suis désolé, mais je ne vais pas davantage vous détailler ici le rituel, car il faut certaines connaissances pour le pratiquer. Nous sommes cependant ouverts à transmettre ce savoir à des druides qui souhaiteraient l’utiliser.
Cette consécration aura pour effet de relier la pierre aux énergies souterraines, de mettre en place les enceintes sacrées et le système de programmation de l’énergie stockée pour quelle fasse ce pourquoi le menhir a été consacré.
Autre chose, il faut demander (par la prière) à ce qu’un gardien protège le lieu.
Étude géobiologique du lieu
Cette expérience n’est qu’une expérimentation personnelle. Elle s’est déroulée chez moi. Le menhir vient des Cévennes. Il y a des années, il avait été déplacé avec délicatesse par EDF qui installait à la place des pylônes métalliques. Il est actuellement posé sur un croisement de deux veines d’eau et d’une faille sèche.
Taux vibratoire avant l’activation : 40 000 UB.
Taux vibratoire 30 minutes après l’activation : 700 000 UB.
La vertu principale de ce menhir est de transmuter nos énergies dans le but de nous faire évoluer spirituellement.
J’ai aussi recherché s’il y avait des lignes médicinales à proximité, une ligne de manganèse-cuivre passe en diagonale sur le mégalithe (nord-ouest/sud-est), et une autre d’argent passe aussi en diagonale à environ 10 m à l’ouest de la première.
Vertus :
Le manganèse/ cuivre soigne les infections ORL, les troubles post vaccination, la bronchite chronique. La largeur de son flux est de 36 cm.
L’argent soigne la bronchite, pharyngite, la grippe fébrile, et a une action anti-inflammatoire. La largeur de son flux est de 36 cm.
L'activation d’un menhir
Il y a toute une marche à suivre pour utiliser un menhir, notamment le franchissement des portes situées sur les trois enceintes sacrées.
Les personnes qui n’ont pas emprunté le cheminement d’accès ne retireront aucun bénéfice de leur visite. Pourtant, certaines personnes sensibles ressentent tout de même de l’énergie quand elles sont contre un menhir. C’est exact, mais ce n’est qu’une infime partie de ce qu’ils pourraient percevoir si le monolithe était activé.
Une des façons de l’activer ( « faire jaillir la lumière ») et de trouver le point d’acupuncture (il s’agit d’un point sur le menhir) sur lequel agir pour dynamiser le menhir et lui permettre de répandre une très forte énergie positive.
Le point « d’acupuncture » est, en général, situé au sud, mais ce n’est pas toujours le cas.
À mon sens, il n’est pas bon d’enseigner cette technique à tout un chacun. Il me parait logique que seuls ceux qui, par leur recherche personnelle, ont su acquérir une certaine élévation spirituelle et une connaissance raisonnée des causes et des effets aient le droit de manier les énergies. Il faut impérativement prendre un certain nombre de précautions en liaison avec nos corps physiques, éthériques, subtils et spirituels, qui sont tous concernés par une augmentation brutale de la quantité d’énergie.
Si on active une menhir sans savoir à quoi il servait et l’énergie qu’il contient on peut avoir de mauvaises surprises. N’oubliez pas que les autels sacrificiels sont des pierres destinées à recueillir l’énergie de ce (ou ceux) qui était exécuté dessus. Êtes-vous certains de vouloir activer ce genre de pierres ?
La façon de procéder :
Un menhir, comme tout mégalithe, doit s’aborder avec humilité. Si nous voulons qu’il s’ouvre à nous, il faut, d’abord, nous ouvrir à lui, par la méditation ou la prière, afin de mettre en syntonie nos vibrations et les siennes.
Pour activer un menhir, il faut, au départ, avoir des intentions honnêtes et savoir ce que l’on fait. Les apprentis prennent des risques. Par lui nous atteignons le sacré et nous devons être totalement centrés et dans l’instant présent.
Faire face à la pierre, baguette coudée à la main, il faut avancer jusqu’au moment où la baguette nous bloque et nous refuse le passage, en indiquant la direction à suivre, vers la gauche ou vers la droite. Il faut alors continuer jusqu’à ce que la baguette nous bloque à nouveau et nous indique la porte de la troisième enceinte. Même méthode pour pénétrer dans la deuxième puis la première enceinte pour enfin, avoir accès au « saint des saints ». En repérant bien notre cheminement, nous constatons généralement que nous avons, toujours, tourné autour de la pierre par le côté gauche, et que nous en avons parcouru la totalité du diamètre.
Chaque passage de porte nous fait monter en vibration progressivement et nous transmet une énergie qui nous prépare à ce que nous allons recevoir du menhir.
Symboliquement ces portes représentent : la vie, la mort, la renaissance
Après avoir passé la troisième et dernière porte de la triple enceinte de protection, nous sommes passés sur un point d’énergie tellurique nul, géo pathogène, destiné à nous vider de ce qui nous encombre l’esprit et le corps, c’est le même phénomène que les pierres de seuil dans les églises, pour ensuite atteindre, l’énergie « sacrée » en la recevant totalement.
La première enceinte a un diamètre de 2.90 m, la seconde 5.40 m et la dernière 10.40 m.
Que se passe-t-il à l'activation? Comment cela fonctionne-t-il ?
Il ne faut pas oublier qu’avant l’activation, nous avons affaire à une énergie négative (-). La mise sous tension de la pierre va faire considérablement augmenter la valeur positive (+).
Il est remarquable que la puissance de ces énergies soit, en fonction du nombre et de la densité des «perturbations» du sous-sol, et aussi, de la grosseur de la pierre.
Cette transformation extraordinaire n’émane pas seulement du tellurisme, le fait d’activer le système, à parallèlement un autre rôle, celui d’ajouter de l’énergie cosmique, indispensable au bon équilibre recherché.
Le diamètre des flux concentriques de l’aura est, lui aussi, fonction de ce qui se passe en dessous. Plus l’énergie du sous-sol est forte plus la portée en surface est grande, mais, quelle que soit la portée, le rapport des diamètres, entre eux, est toujours le même, d’une enceinte à l’autre.
Non activé, le menhir est ceinturé par une cheminée cosmo tellurique. Après sa mise en puissance, cette cheminée se transforme en un puissant vortex. Le cylindre devient tronc de cône. L’énergie dégagée s’échappe d’une manière, à la fois égale et sélective : une couronne d’énergie moyenne positive, par exemple, tout autour du mégalithe et, en même temps, le renforcement des flux sacrés. Inactive au repos, la pierre dégage, à nouveau, une énergie négative en couronne, mais les flux sacrés restent positifs, mais beaucoup moins intenses. Toute pierre étant polarisée, les menhirs dans leur position initiale ont tous, leur face négative (au sens magnétique) au nord, donc la positive au sud.
Conclusion
Cet article a pour but de transmettre les connaissances que nous avons à notre disposition, nombreuses sont les questions en suspens. Comment les énergies négatives du sol, en circulant dans le mégalithe, sont transformées en énergies fortement positives. Nous savons que les pierres utilisées comme le granit, les grés, sont constituées de certains minéraux : quartz, feldspaths potassiques (orthoses) et plagioclases, micas (biotite ou muscovite), tous sont fortement condensateurs d’énergies.
Une petite précision, à l’époque des druides, ce sont les Ovates vêtus de noir qui activaient les lieux sacrés. Ils appartenaient à la seconde classe de la hiérarchie druidique, chargée des sacrifices et autres cérémonies matérielles du culte, des augures, des actes de la vie civile et pratiquaient la médecine.
Après plusieurs mois de recherches en tous genres, le miracle tant espéré s’est produit, merci à tous les intervenants qui nous ont aidés, qu’ils soient dans notre dimension ou dans d’autres.
Michel