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Les Dolmens

Michel

Le monde des mégalithes fait partie des sujets de fascination pour l’homme. Les menhirs, cromlechs et autres dolmens sont ce que l’on appelle vulgairement des pierres levées.

La première relation de l’homme avec la pierre fut sacrée. En réalisant très tôt qu’elle est avant tout un principe de transmission d’énergie et un amplificateur tellurique et cosmique. Ils découvrirent aussi qu’elle permettait ce qu’on appellerait aujourd’hui des états altérés de conscience.

La composition des mégalithes fut sans doute choisie pour leurs différentes propriétés. Les menhirs et dolmens sont dans la majorité des cas en granit ou en grés. Ces deux roches possèdent d’importantes propriétés électriques, et piézoélectriques par leur teneur en quartz, en micas et en feldspaths.

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Les mégalithes sont un sujet de recherche pour un nombre de personnes de plus en plus important. Il est vrai que la renaissance de la Géobiologie n’est pas étrangère à ce regain d’intérêt.

À quoi ces rochers pouvaient-ils servir ? les réponses varient selon les chercheurs. Différentes approches sont à notre disposition, elles peuvent être rituelles, scientifiques ou magiques.

Les archéologues, les géobiologues, les historiens ou les chercheurs amateurs, chacun à sa version.

Ces pierres, pour beaucoup, sont remplies d’énergie, qu’elle soit tellurique ou cosmique ou les deux à la fois. C’est cette relation entre le magnétisme terrestre et ces blocs de pierre qu’il faut arriver à comprendre.

Au fil des siècles, elles sont devenues miraculeuses, guérisseuses et bien d’autres choses encore. Pierre de fécondation, de guérison ou de divination, derrière cet aspect désordonné chargé de nombreuses légendes, de nombreuses informations sont étudiées par ces nouveaux chercheurs que sont les personnes qui s’intéressent aux énergies.

Jusqu’il y a peu de temps, les livres d’histoire reliaient les mégalithes à la culture Celte. Ils n’en furent en fait que les utilisateurs. Les travaux les plus récents nous montrent que le « mégalithisme » n’est pas lié à une seule et même civilisation, mais plutôt un ensemble de culture du néolithique (8000 à 2500 av. J.-C.).

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Un peu d'histoire

Leur fonction officielle semble évidente pour la majorité des gens, c’est un monument funéraire collectif, le plus souvent.

Leur implantation est généralement dirigée vers l’Est, vers le soleil levant. On les nomme dolmen, table, tumulus, hypogée, allée couverte ou dolmen à couloir.

Il est évident que l’orientation fait pleinement partie du système mégalithique. La majorité des dolmens sont précisément dirigés sur le soleil levant ou couchant. Certains autres sites semblent être axés sur des points solsticiaux, en général le lever de l’astre solaire au solstice d’été. C’est le cas de Stonehenge ou de Gavrinis. Certains autres comme Newgrange ou le dolmen de la table des Marchands montent en puissance au solstice d’hiver.

Comme les autres mégalithes, on en retrouve dans de nombreux pays, en Europe, de la Suède au Portugal, de la Pologne à l’Irlande et sur le pourtour méditerranéen de Malte à la Sardaigne en passant par la Corse. En Algérie, en Tunisie, en Éthiopie ou en Israël. Dans le Caucase aussi, il y en a plus de mille recensés. Il est à souligner qu’en Méditerranée les formes diffèrent, c’est plutôt des tombes collectives circulaires. De nombreux autres pays dans le monde avaient ce genre de rite funéraire.

Chez certains, c’est la forme et surtout la hauteur qui nous interpelle. Pourquoi il n’est pas possible à un homme de se tenir droit sous la table dolménique ?.

Pourquoi les hommes d’Europe occidentale se sont mis à construire des dolmens au Veme millénaire avant notre ère et pourquoi semble-t-il qu’ils aient abandonné ce genre de pratique à la fin du IIIeme millénaire?
Autre énigme : on ne connait pas les raisons de certaines transformations et même d’autres destructions que les archéologues ont pu constater, alors qu’ils étaient encore en usage.

Les recherches prétendent que neuf sur dix des monuments funéraires du néolithique ont disparu. Des recensements ont permis de constater que des milliers que ces monuments ont été détruits. Des textes du XIII ème siècle font état de destructions massives en Galice : plus de 3 000 mégalithes auraient été détruits, cet exemple permet d’imaginer que 6 000 ans plus tôt, les pierres levées, dolmens et menhirs étaient en très grand nombre. L’Europe entière devait ressembler au Morbihan.

Pour la zone Europe, une bonne partie de ces disparitions fut faite pendant l’évangélisation, qui dura de nombreux siècles. Des bulles papales prouvent que ce fut une volonté délibérée de l’église. Ces mégalithes, quand ils ne furent pas christianisés, servirent aussi de carrières à matériaux de construction.

Mais alors, pourquoi certains dolmens ou tumuli n’ont jamais contenu d’ossements? C’est le constat que les archéologues font fréquemment depuis quelques années. Il faut savoir que la naissance suivie de l’évolution du mode funéraire a toujours été étudiée comme un phénomène important, car cela atteste de la naissance de la spiritualité chez un peuple.

Mais à quoi servaient-ils?

Y aurait-il des dolmens qui auraient une autre fonction que funéraire ? Cette hypothèse est de plus en plus envisagée par les chercheurs, qui s’étonnent qu’aucune trace, même minime de fragment d’os n’ait été trouvé pendant les différentes campagnes de fouilles.    

Les géobiologues eux, qui pratiquent une sorte d’archéologie intuitive, savent depuis longtemps que certains furent des sanctuaires réservés aux offrandes, aux prières, aux initiations avec des emplacements thérapeutiques liés aux vibrations de certains métaux.

L’exemple d’un site riche en mégalithes, près d’Arles sur la commune de Fontvieille dans le département des Bouches du Rhône en est le parfait exemple. Dans un périmètre de quelques kilomètres, pas moins de huit hypogées-dolmens existent, sans compter plusieurs menhirs de différentes tailles.

Deux, sur les huit réagissent comme ayant été des sanctuaires, il s’agit de celui de la montagne des Cordes, le second celui du Castelet 1.

Il y a donc deux types de dolmens que l’on peut distinguer sur le plan énergétique.

Le premier pourra être assimilé à un dolmen tombeau, le second à un dolmen sanctuaire.

De par sa forme et par l’application du principe de la pierre sous tension, le dolmen concentre sous sa dalle l’énergie négative. La principale question va être de savoir quelle information va être émise et à quelle intensité, C’est tout le problème des émissions induites par les formes.

Les dolmens « tombeaux » émettent pour leur part le fameux vert électrique négatif (V-E), le fameux « rayon de la mort » déjà utilisé par les Égyptiens dans les tombeaux pour dessécher les cadavres. Le même principe se retrouve avec l’action de la pyramide construite en réduction et en fil de fer, qui permet à un morceau de viande placé en son centre de gravité de se momifier en quelques jours.

Un dolmen tombeau va donc être un amplificateur naturel de V-E négatif. Il permettra ainsi un dessèchement rapide et une momification du cadavre, sans la moindre odeur, dans un délai relativement rapide par rapport à une sépulture traditionnelle.

Certains dolmens fonctionnaient même comme des crématoriums, où vont se dessécher des cadavres au cours des générations. Ce qui explique les importantes quantités d’os, provenant d’époques différentes, qui font penser aux archéologues qu’il s’agit là de réemploi et de sépultures successives. Il existe aussi d’autres dolmens qui furent les tombeaux pour seulement une famille ou d’un seul individu, sans doute en hommage à sa position dans la société. Mais le principe reste le même.

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Les Dolmens sanctuaires

Cette énergie pouvait avoir également un autre intérêt, elle pouvait permettre à un individu arrivé à un certain niveau de spiritualité de quitter sciemment son corps, quand le moment était venu. Si cela s’explique énergétiquement, c’est sans doute plus difficile à prouver pour un archéologue.

Dans son principe la pierre est un excellent amplificateur d’énergie. Elle va donc jouer son rôle indépendamment de la nature de l’émission qui passe par son canal. C’est pourquoi si elle peut être dispensatrice de mort, le même principe inversé et contrôlé va devenir une source de vie.

Ils appliquaient ce principe, c’est pourquoi ils servaient principalement à usage thérapeutique ou spirituel.

Et le géobiologue ne retrouvera pas sur la pierre l’émission du trop néfaste vert électrique négatif, mais d’autres informations qui lui indiqueront la fonction exacte de chaque orthostat (pierres verticales), et même de la table dolménique. Car il courant que chaque pierre a une fonction « guérisseuse » différente.

Pour les discerner, il faut donc rechercher sur le disque équatorial de M Bélizal, ou avec un pendule équatorial les différentes émissions de formes correspondantes.

Les dolmens à usage thérapeutique vont plutôt émettre sur la gamme du spectre des Verts+ magnétique ou électrique. Le Vert électrique positif signalera un point de guérison, tandis que les bleu et Violet magnétique permettront de reconnaitre les dolmens comme de véritables églises.

Il est vrai que cette approche est très différente de la conception habituelle que nous avions du simple dolmen. Elle permet d’établir en fait le lien global de l’individu avec le sacré, dont la mort n’est qu’un élément de transformation de la vie. Car la même énergie qui peut enlever la vie, peut également une fois inversée, devenir source de guérison et de transformation spirituelle.

Le plus souvent menhirs et dolmens étaient liés dans un processus énergétique complémentaire, qui leur permettait sur le même endroit de réguler l’énergie du lieu et de la transformer, selon l’état de conscience de celui qui était capable de les activer.

 

 

 Michel

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