Lorsqu’on se penche sur le monde des mégalithes, il nous révèle régulièrement des nouveautés.
Les travaux les plus récents démontrent que le « mégalithisme » n’appartient pas à une seule civilisation, mais toutes les cultures du néolithique (8000 à 2500 av JC). Il est vrai que nous n’avons plus leur savoir culturel et cultuel.
L’attraction des dolmens et autres menhirs a entrainé des explications les plus folles. Le but de cet article est aussi de faire connaitre le point de vue des personnes qui pratiquent la géobiologie.
Tout d’abord, les mégalithes ne sont pas une spécialité celtique. Plusieurs dizaines de milliers existent dans le monde. De la Chine à l’Amérique, en passant par l’Afrique, le Japon et la Suède et particulièrement la France. Il est donc vrai, que les peuples Celtes avec les Druides ne sont pas les constructeurs exclusifs de ces types de monuments. Ils n’en furent en fait que les utilisateurs. Pour un grand nombre, ils ont récupéré les mégalithes sans les avoir érigés.
A travers le monde, des constructions pratiquement identiques ont été utilisées par des peuples qui ne se connaissaient pas. Il est vrai que sur la façade atlantique de l’Europe, de la péninsule Ibérique à la Scandinavie il y a des liens incontestables. Par contre les mégalithes d’autres continents sont des phénomènes indépendants. Souvent les périodes ainsi que les cultures concernées sont différentes et rien ne permet d’associer les divers monuments entre eux.
Les datations récentes, selon les pays sont des plus diverses. Sur l’ensemble, on peut dire que les plus anciennes constructions datent du V eme millénaire avant notre ère, elles se sont échelonnées jusqu’environ le premier siècle.
Actuellement, les informations sur les dolmens sont nombreuses, mais toujours incomplètes. Par contre on est beaucoup plus pauvre quant à l’utilisation des menhirs.
La principale explication qu’on avance, et que les alignements sont reliés au culte astronomique.
Ce monument mégalithique formé par une pierre levée. Les menhirs étaient sans doute aussi des pierres commémoratives ou des édifices cultuels. Ils peuvent être isolés, disposés en ligne [alignements] ou en cercle [cromlechs].
Notre pays (la France) est particulièrement riche en menhirs, principalement en Bretagne et sur la côte atlantique, mais aussi dans un grand nombre de régions. Des particularités existent, paradoxalement ce n’est pas là où les menhirs sont nombreux que l’on trouve beaucoup de tombes mégalithiques. A ce jour, nous ne savons pas si les menhirs et les dolmens étaient installés ensemble ou séparément.
L’organisation des menhirs est en fait structurée selon des principes différents, qu’ils soient isolés, par paire, en double avec un ou plusieurs dolmens, ou même en alignement. En principe, ils sont souvent en terrain dégagé pour être visibles de plusieurs centaines de mètres.
Ils peuvent aussi être utilisés en cromlechs autour des tumuli.
Inversement aux dolmens, l’explication du fonctionnement des menhirs ne parviendra pas des résultats des fouilles qui ont été faites autour ou sous les pierres levées. Un grand nombre ont été terrassés par les hommes, certains remis à la verticale gauchement.
La seule explication aujourd’hui adoptée par une majorité de chercheurs, est que les alignements de menhirs ont un rapport avec le culte solaire. Leurs positionnements supposent effectivement cette déduction. Leurs orientations correspondent le plus souvent aux solstices et aux équinoxes. Comme d’habitude, certaines solutions entrainent encore plus de questions, comme sur certains alignements en Bretagne, pourquoi les plus petits menhirs sont du côté Est, les plus gros du côté Ouest.
Il est évident que l’orientation fait pleinement partie du système mégalithique. La majorité des dolmens sont précisément dirigés sur le soleil levant ou le soleil couchant. Certains autres sites semblent être axés sur des points solsticiaux, en général le lever de l’astre solaire au solstice d’été.
En fait selon son orientation, le menhir reçoit la lumière du soleil qui déclenche le processus piézo-électrique de la pierre, qui ensuite génère des champs électriques qui doivent intervenir dans les énergies du lieu.
Le menhir est érigé au point d’intersection d’au moins deux courants d’eau souterraine, situés à des profondeurs différentes.
Lorsque l’eau coule au cœur d’une faille géologique, l’intensité est fortement accrue.
Véritable antenne de pierre, le menhir tire et capte les rayonnements. Sa masse et son poids accentuent la mise sous tension. La composition de la pierre permet la vibration. Il existe des mégalithes de différentes roches, mais si autant sont en granit, c’est bien parce que ceux qui les érigèrent connaissaient les caractéristiques de cette roche cristalline. Le quartz, qui entre dans la composition (avec le feldspath* et le mica) se met en vibration lorsqu’il est soumis à un rayonnement, ce qui provoque des charges électriques à la surface des cristaux. Ce phénomène porte le nom de piézoélectricité. Il est surprenant de constater le choix précis des premiers bâtisseurs pour les granites à forte concentration en quartz. Il n’est pas rare de découvrir sous la base d’un menhir des blocs de quartz pur destinés à favoriser et intensifier la mise en vibration du mégalithe. Les menhirs en grés sont eux aussi vibrants car cette roche est souvent composée de silice (et parfois de feldspath et de mica), qui engendre également le phénomène de piézoélectricité.
* Le granit est la plus ancienne des roches éruptives; elle est formée de l’agrégation de cristaux de feldspath, de quartz et de mica. La proportion de ces trois minéraux est très variable; à chaque combinaison correspond une variété de granit.
* Le feldspath augmente et canalise toutes les formes de prospérité, tout en diffusant et en réfléchissant l’énergie et les vibrations négatives.
* Le mica : il est utilisé dans les industries électroniques, électriques et thermiques;
Les effets bénéfiques des menhirs.
Faire le plein d’énergie
Le rayonnement d’un menhir est bénéfique. Le simple fait de marcher dans les alignements mégalithiques est conseillé pour se recharger en énergie. Un menhir isolé est de la même manière un lieu de ressourcement énergétique. S’adosser, s’appuyer, se plaquer contre un menhir ou le prendre à bras le corps établit un contact direct qui permet à l’énergie rayonnée par la pierre de passer dans le corps d’un individu.
Se soigner
Tous les menhirs même hors alignement, auraient également un pouvoir de guérison. Un contact prolongé avec la pierre pourrait avoir une action bénéfique sur la partie du corps sujette à des maux ou étant le siège d’une maladie. Les pratiques ancestrales auprès de pierres guérisseuses en témoignent et ne peuvent être seulement le fait de croyances sans fondements.
Ce qui reste des structures mégalithiques n’est qu’une minuscule partie de ce qui a existé, n’étant ni historien, ni archéologue, il serait prétentieux d’entretenir des désaccords concernant les différentes utilisations de ces géants de pierre.
Michel