Le menhir de Kerloas, à Plouarzel, datant du néolithique, est l’un des monuments les plus visités et photographiés de Bretagne. Certains le surnomment parfois « le bossu », à cause de ses deux bosses. Celles-ci étaient, au XIXe siècle, l’objet d’une étrange coutume : les nouveaux mariés venaient nus se frotter le ventre contre ces bosselures, l’homme, dans l’espoir d’avoir des enfants mâles, la femme, pour assurer son règne sur la maison.
Il est le plus grand menhir actuellement debout. Sa hauteur au-dessus du sol naturel est de 9,50 m. En effet il faut faire abstraction de 0,30 m de terre rapportée, il y a quelques années, pour remédier l’érosion du sol provoquée par le piétinement des visiteurs. Elle avait eu pour effet de mettre au jour les pierres de calage du menhir.
Cependant, la hauteur originelle de ce monolithe était bien plus importante et devait dépasser les 10 m, car, au XVIIIe siècle, c’est la foudre qui en tronqua la partie sommitale.
La circonférence du menhir, au niveau du sol, est de 6,20 m ; à 1,20 m de hauteur, elle est de 6,70 m ; à 3,65 m elle est de 6,96 m, puis la pierre devient plus fine ; à 5 m, la circonférence est de 6,45 m et à 6 m elle passe à 5,95 m.
On estime son poids à 150 tonnes.
Les deux saillies en forme de bosse du menhir de Kerloas, d’une trentaine de centimètres, étaient jadis l’objet d’un rite de fécondité.
En 1911, Guénin rapporte également que le mégalithe était réputé avoir un pouvoir de guérison et que des malades venaient secrètement se frotter aux bosses du menhir dans l’espoir d’être guéris.
La majorité des menhirs, ont été dressés à l’endroit ou précisément se croisent plusieurs veines d’eau souterraines et autres courants telluriques divers.
L’implantation des mégalithes n’est pas fortuite, les hommes du néolithique avaient une pensée organisatrice.
Dans de nombreux endroits, ces pierres levées indiquent des lieux curatifs par l’eau qui est devenue radioactive par l’action électromagnétique des ondes souterraines.
Les hommes en buvant cette eau, s’imprégnaient de la radioactivité curative.
Nous commençons à peine à connaitre l’étendue des connaissances des hommes du néolithique, qui par leurs diverses perceptions maitrisaient les phénomènes telluriques et cosmiques.
Il existe d’autres courants telluriques ou lignes, beaucoup moins connu que, peu de géobiologue recherchent. Pour les désigner, j’emploie le terme de
« Lignes médicinales », d’autres les nommeront magiques, miraculeuses, guérisseuses, ésotériques ou autres.
Ces fameuses lignes font partie de la table de Mendeleïev, chaque métal ou métalloïde* possède ainsi une information vibratoire avec sa propre fréquence, ce qui lui donne des vertus spécifiques. Chacune en a des particulières, la largeur de chaque flux est différente.
*Un métalloïde est un élément chimique qui ne peut être classé ni dans les métaux ni parmi les non-métaux, c’est-à-dire dont les propriétés physiques et chimiques sont intermédiaires entre celles d’un métal et d’un non-métal.
Diagnostic géobiologique du menhir
Il est implanté sur un croisement Hartmann (nickel) superposé sur un autre croisement Curry (fer).
Deux veines d’eau se croisent aussi sous le mégalithe.
Il est clair que l’énergie qui émane du menhir est nocive. La superposition des croisements Hartmann et Curry, ainsi que les veines d’eau produisent de la nocivité pour l’homme.
Un vortex est lévogyre féminin), énergie tellurique, il est positif. Il vibre à 200 000 unités Bovis sans être activé.
Les lignes médicinales
Nous allons essayer de voir s’il existe des raisons qui vont dans le sens des coutumes en vigueur.
Le menhir est entouré de sept autres lignes telluriques dites « médicinales », en plus des deux, Nickel (Hartmann) et Fer (Curry).
Fer : anémie, trouble digestif, grossesse, allaitement
Nickel /cobalt: : digestion.
Lithium : le stress, angoisse, la dépression, l’irritabilité, la goutte, les pathologies génitales.
Bore : vertiges, frayeur.
Chrome : obésité, diabète, hypertension artérielle.
Cuivre : maladie infectieuse, articulations, inflammation.
Bismuth : orl, syphilis.
Sélénium: vieillissement, impuissance sexuelle, infection orl.
Soufre: dermatose, exéma, inflammation rhumatismale.
Certaines vertus des lignes correspondent parfaitement aux coutumes ancestrales. Nous voyons que plusieurs correspondent à la fécondité, le fer, le lithium, le sélénium.
On notera qu’avec ces résilles, il n’existe pas de risques de toxicité, comme par exemple les aliments au contact avec l’aluminium, car elles fonctionnent par information comme en homéopathie ou oligothérapie.
Remarques :
Les lignes de Lithium, Bore, Bismuth ont une position dans la nature diagonale (X), le Chrome, le Cuivre ont une position cardinale (+). Dans le cas qui nous intéresse, nous voyons que certaines lignes respectent leur position initiale et naturelle, ce n’est pas le cas pour d’autres comme le Chrome et le Cuivre.
De tels regroupements de lignes « médicinales » ne sont pas naturels, ce sont les hommes qui ont manipulé ces lignes bienfaitrices dans des endroits bien précis.
Les schémas montrent que les lignes médicinales sont toutes traversées par une veine d’eau, qui à notre avis servent à transporter les éléments positifs des lignes vers le centre du menhir.
L’étude géobiologique de ce monolithe, confirme ses nombreuses vertus bienfaitrices pour la santé. Dans ce cas précis, la mémoire collective a conservé les coutumes ancestrales, ce n’est pas le cas de centaines d’autres lieux sacrés, tombé dans l’oubli volontairement ou pas.
Michel.