Dans ce petit article je vais vous expliquer comment s’y prendre pour toucher un arbre afin que celui-ci vous recharge et vous apaise.
Vous avez certainement déjà vu des personnes faire des « câlins » à des arbres, voici comment et pourquoi ils le font.
La demande
Un arbre est un être vivant, donc il faut lui demander son autorisation avant de le toucher, sinon, dans certains cas la sensation que vous aurez en le touchant sera désagréable.
Pour cela :
- Approchez-vous approximativement à 2m de celui-ci.
- Placez-vous debout en position d’équilibre entre l’avant et l’arrière.
- Demandez à haute voix « arbre, je souhaite te toucher, est-ce que tu m’y autorises ? ».
Et là va se produire quelque chose d’assez surprenant : vous allez vous sentir poussé vers l’arbre s’il accepte ou bien vers l’arrière s’il refuse.
L’arbre n’entend pas ce que vous lui dites, mais il peut sentir votre intention, il faut donc faire sa demande avec sincérité, sinon ça risque de ne pas fonctionner.
Le contact
Pour cette partie vous pouvez choisir la manière et la partie de votre corps qui va entrer en contact avec l’arbre.
Certains posent une main, d’autres deux, certains l’enlace et enfin il y a des personnes qui en profite pour méditer dos à l’arbre.
À vous de choisir et de tester ce que vous préférez.
Là ,vous allez sentir une douce énergie (dont la puissance est propre à l’arbre) rentrer en vous. Cette énergie va vous recharger et vous apaiser, vous comprendrez donc facilement pourquoi de plus en plus de personnes pratiquent cet exercice.
Les remerciements
Une fois que vous sentez que c’est terminé, reculez un peu et remerciez l’arbre en mettant votre main sur votre cœur puis en l’écartant en faisant un arc de cercle horizontal (c’est le signe universel de remerciement).
Et là, quelques secondes après vos remerciements, va se passer quelque chose d’extraordinaire : vous aurez la réponse de l’arbre. Cela se fera sous la forme d’une énergie que je qualifierais de « joyeuse », un peu différente de la précédente et qui viendra sur vous alors même que vous n’êtes plus en contact avec l’arbre.
A pratiquer sans modération.